Billet
Les marchands d’illusions et dealers avec les terroristes et alliés impérialistes d’occupation territoriale néo-colonialiste, devront comprendre que le dialogue mercantile qu’ils prônent avec les groupes armés terroristes, ne marche pas pour le Burkina Faso. Le Chef de l’Etat, le capitaine Ibrahim Traoré a rappelé encore ce principe non négociable le 11 juillet 2024.
Le Président du Faso, Chef de l’Etat, le Capitaine Ibrahim TRAORE a échangé, le jeudi 11 juillet 2024, avec les Forces vives venues des 13 régions du pays. Au cours de cette rencontre, le Chef de l’Etat a décliné à l’attention de ces représentants des diverses couches sociales du Burkina Faso, sa vision pour les cinq ans à venir. La question névralgique était encore à l’ordre du jour, en l’occurrence le dialogue que d’aucuns préconisent avec les terroristes.
Le Chef de l’Etat à ce sujet, a attiré l’attention du peuple sur les velléités de certains Burkinabè, qui espèrent faire la paix avec les terroristes en mettant en avant le dialogue. « Il n’y a pas d’alliance possible avec les terroristes », a-t-il rappelé avec insistance.
C’est un secret de Polichinelle d’admettre que certains Burkinabè et leurs alliés impérialistes utilisent le terrorisme comme un fonds de commerce. C’est avec étonnement, que les citoyens ont constaté en 2020 une accalmie dans les attaques terroristes durant la campagne électorale présidentielle et législatives. Il a fallu des révélations du capitaine Ibrahim Traoré à sa prise de pouvoir en 2022, pour expliquer un deal de rançon conclu entre le pouvoir d’alors et les terroristes pour un cessez-le feu en vue du déroulement des élections. Le président Traoré a bien précisé que les forces armées avaient reçu l’ordre de ne pas attaquer les terroristes. Il a fait savoir que ces derniers se pavanaient devant les détachements militaires pour exhiber de fortes sommes que le pouvoir leur avait octroyé pour un cessez-le feu temporaire. Cette situation fait partie des griefs qui ont contribué à révolter la troupe pour en venir au coup d’Etat pour la transition.
Cette option du dialogue avec les terroristes relève d’une stratégie de complicité criminelle. Le Burkina Faso sous le magister du capitaine Ibrahim Traoré, a réussi à mettre en place des stratégies militaires efficientes de combat qui permettent la reconquête progressive de l’intégrité du territoire nationale et la réinstallation des populations déplacées. C’est cette stratégie qui en vaut la peine et est de nature à aboutir dans le futur à l’éradication du terrorisme au Burkina Faso. Honte aux dealers apatrides avec les terroristes !
Oscar Félix Diakité
Laborpresse.net Dimanche 14 juillet 2024