Devant le juge en chef Gertrude TORKORNOO, John Dramani MAHAMA a juré de protéger la Constitution, de servir le peuple, de s’investir pour la justice sociale, de protéger et défendre le Ghana.

Coopération AES/CEDEAO : mission noble mais impossible du président ghanéen John Dramani MAHAMA à cause des présidents français et ivoirien

EDITORIAL

La Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) persiste dans l’illusion d’un retour en son sein des trois (03) pays de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). La mission de médiation confiée par le président ivoirien Alassane Dramane Ouattara au président ghanéen John Dramani MAHAMA est vouée à l’échec.

 

L’idée d’un retour des pays de l’AES à la CEDEAO subit des ramifications pour se déguiser en un projet de partenariat et de coopération entre les deux entités. Deux (02) chefs d’Etat sont à la base du dévoiement et de la déliquescence des missions de la CEDEAO. Il s’agit du président français Emmanuel MACRON, qui est allergique au concept de partenariat gagnant-gagnant et qui continue de se comporter en dictateur, néo-colonisateur qui cherche toujours à piller les ressources africaines. Cette mentalité moyenâgeuse du sieur MACRON frise une pathologie incurable.

Le président ivoirien Alassane Dramane OUATTARA, fait figure du second personnage marionnette de MACRON pour les agissements stupides de la CEDEAO en Afrique de l’Ouest. Il demeure le principal disciple du satanique MACRON en Afrique francophone.

Ces deux personnages constituent des obstacles majeurs du progrès de la CEDEAO et leur attitude ne permet d’envisager aucun rapprochement sincère et efficient entre l’AES et la CEDEAO.

 Tout en reconnaissant que la souveraineté de l’AES irréversible, le président ghanéen MAHAMA ferait une prouesse s’il parvenait à établir des relations de coopération pacifiques et intelligentes entre l’AES et la CEDEAO. Mais cette mission est vouée à l’échec à cause de la mentalité moyenâgeuse des deux présidents français et ivoirien qui durant leur mandat, ne pourront pas changer de posture. La coopération pourrait s’établir à l’avenir quand ces deux chefs d’Etat ne seront plus au pouvoir et que leurs successeurs soient plus réalistes et conciliants.

Laborpresse.net         Lundi   10 mars 2025

 

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