Ce véhicule de marque Renault express, a été victime d’un accident de la circulation le samedi 02 Novembre 2013, sur le boulevard circulaire de Ouagadougou, à proximité du Centre Médical avec Antenne chirurgicale (CMA) du secteur 30.Le drame est survenu dans la matinée suite à un mauvais dépassement entre ledit véhicule et une Mercédès. La fourgonnette a donc basculé en percutant un poteau électrique pour se retrouver dans cette position. Le conducteur s’en est sorti vivant avec une blessure à la tête. La police s’est déportée sur les lieux pour assurer la sécurité car, tout acte de vandalisme éventuel par la pyromanie aurait des conséquences énormes en raison du fait que l’accident s’est produit non loin du port sec de Ouagadougou où sont stationnés plus d’une vingtaine de camions-remorques. Plusieurs accidents de la route à Ouagadougou sont dus à des excès de vitesse. Un drame qui interpelle sur la prudence et le respect du code de la route.

Opération de destruction de ralentisseurs anarchiques sur des routes au Burkina

Brève

 Une opération de démolition de ralentisseurs construits anarchiquement sur des routes bitumées ou non ,a été lancée par le ministère burkinabè des transports et de la mobilité urbaine .Ces ralentisseurs,communément appelés ‘’gendarmes couchés’’,ont été construits par des citoyens riverains de grandes voies à circulation routière intense ,dans l’optique de lutter contre les excès de vitesse et les nuisances dues à la poussière qui se déverse sur des marchandises et des habitations.Le hic,c’est que ces ralentisseurs sont faits très souvent de façon démesurée,rendant difficile le passage des engins à 2 et 4 roues.L’absence de signalisation de ces installations anarchiques,provoque trop d’accidents légers mais aussi graves avec morts d’hommes.Le ministère des transports entreprend des sensibilisations des populations sur les dangers de ces ralentisseurs désordonnés, pour ensuite les détruire.Seuls les ministères des infrastructures et celui de l’habitat sont habilités à ériger des ralentisseurs sur des voies publiques selon des normes requises au Burkina Faso.Des contrôles seront intensifiés contre les excès de vitesse et les auteurs d’infractions seront sanctionnés. Au Burkina, la vitesse est limitée à 50 Km/h en agglomération, avec la possibilité pour l’autorité locale compétente de revoir à la baisse cette vitesse et à 90 km/h en rase campagne pour tous les types de véhicules.

Bérenger Traoré

Laborpresse.net            31 Août 2020

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